Le sable du sérail soumis à mes sandales
Le cadran s’est fêlé de l’église au frappant
Double regard à la lune, en la florescence
Du halo de brouillard ainsi que l’on encense
Des lampadaires hauts, plates plumes de paon.
Chute des dés de fer au long des toits pliés
Devantures des marchands de vin : oubliés
La conférence des falots rabelaisienne.
Le grand papillon noir afin qu’il n’appartienne
Aux masses de monnayeurs des chevaux liés
Ni de la corne des sabots en lourds piliers
Ricoche des pavés en glace aérienne.
Le vol s’est arrêté droit de la matité
De la noire cheminée au ciel ouaté.
Mais il me faut laisser des traces sur la terre
De la veuve sandale enchaînée à mon pied.
Des lampes, du ciel et du temps m’ont épié
Les inflexibles yeux rond nimbe au solitaire.