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Il paraîtrait que la vie littéraire n’était guère plus heureuse dans la décadence latine que de nos jours. Je vous racontais naguère, écrite d’après lui-même, la vie misérable de Martial : voici maintenant qu’en furetant dans cet admirable carphanaüm de la littérature latine je rencontre le très-singulier livre d’un romancier de la vieille Rome, écrivain de beaucoup d’esprit, de talent et de style, nommé Apulée. Il s’appelait Lucius Apulée ; il avait