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Je ne demande pas mieux que de vous confier ce beau dessin d’Alfred Johannot (la Dernière communion) pour que vous le fassiez reproduire par la gravure. Jamais peut-être ce pauvre Alfred n’a-t-il composé quelque chose de plus rempli de cette grâce touchante, ineffable, dont il a emporté le secret avec lui. Tant qu’il a vécu, j’aurais gardé pour moi seul ce tableau qu’il m’avait cédé ; mais, à présent qu’il est mort, je ne me sens plus