fer, du côté de la petite maison par des peintures lascives ?
— Je vois en effet une muraille, dans cette muraille une porte presque invisible ; à droite une cellule de religieuse, à gauche le boudoir d’une fille de l’Opéra. Mais, autant que j’en puis juger par la décoration que vous préparez avec tant de soins, vous allez, monseigneur, me raconter une vulgaire histoire, moitié sacrée, moitié profane, qui se passe à la fois sous le voile de serge et sous le voile de gaze, — quelque sotte intrigue d’un marquis d’ancien régime avec une religieuse retenue dans ce cloître par des vœux éternels. S’il en est ainsi, seigneur diable, vous pouvez rengaîner votre histoire ; il y a longtemps que nous la savons.
— Impatient jeune homme ! s’écria le diable en crachant le feu de son cigare. — Avec leur rage de tout deviner, on ne pourra bientôt plus raconter une honnête petite histoire ! — Je veux