Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/79

Cette page n’a pas encore été corrigée

avez promise tout à l’heure ? — Très-volontiers, Monsieur, répondit-il ; et comme il pensait qu’Henriette était avec moi, il se retourna vers elle pour l’inviter à la fête de ce soir ; mais Dieu sait comment cette aimable invitation fut formulée ! — Pour moi, à la seule idée de ce que j’allais voir, les cheveux me dressaient sur la tête. — Courage donc ! m’écriai-je ; allons, maintenant tu vas jouer avec les cadavres ! — Voilà un grand pas de fait dansl’horreur !