Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/38

Cette page n’a pas encore été corrigée

Elle était au bord du bois, plus rose que jamais, haletante d’inquiétude, et quand enfin elle nous revit, l’âne et moi, elle se précipita sur lui, l’embrassant, l’appelant par mille noms divers : — Te voilà, lui disait-elle, Charlot ! et elle prenait de ses deux petites mains cette grosse tête ; l’animal se laissait faire, pendant