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et lui disant : À revoir ! — Nous t’attendrons pour dîner, reprit sa femme. Puis se rapprochant, et à voix basse : — Si elle a de beaux cheveux noirs, je te prie de me les mettre en réserve pour me faire un tour !

L’homme se retourna de mon côté : — Les cheveux sont-ils dans notre marché ? dit-il. — Tout en est, répondis-je, le tronc, la tête, les cheveux, tout, jusqu’au son imbibé de sang.

Il embrassa sa femme en lui disant : — Ce sera pour une autrefois.