Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/265

Cette page n’a pas encore été corrigée

la corde de l’enfant ; il la soutint pendant qu’elle montait sur l’estrade ; montée sur l’estrade, il l’attacha sur la planche mobile, de sorte qu’une extrémité de ce bois funeste touchait à la poitrine, pendant que les pieds étaient fixés à l’autre extrémité : je commençais à comprendre cet horrible mécanisme ! J’avais peur de le comprendre, quand tout à coup la planche s’abaisse