Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/243

Cette page n’a pas encore été corrigée

quatre heures, et, pensant déjà à la longueur de cette nuit nouvelle, elle restait dans une extase pénible, les yeux mouillés de pleurs, la bouche à moitié pleine, laissant tomber sur la terre humide le reste de ce pain si dur. Quelle lente agonie ! quelle profonde solitude ! quel néant ! et pourtant que de tristes épisodes je pourrais ajouter à cette triste histoire !

Un jour qu’il faisait chaud et que la large toile d’araignée