Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/153

Cette page n’a pas encore été corrigée

parler, le vif regard, toutes les perfections d’une Italienne. Je crus un instant que je sortais du tombeau et que la madone de saint Raphaël me recevait dans ses bras. Voilà, seigneur, mon histoire de bandit ; j’ai promis à ma douce Maria de devenir un honnête homme, si je le pouvais ; j’espère en venir à bout par amour pour elle ; déjà même, pour être