Page:Janin - L’Âne mort, 1842.djvu/119

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


X.

POÉSIE.


Je terminais cet inventaire triste et doux, lorsque je mis la main sur un paquet cacheté avec soin ; le cachet était intact, l’adresse était écrite de ma main, le frêle envoi était resté dans ces tiroirs, comme un dépôt sacré que je ne pouvais violer sans délit. Cependant, par je ne sais quelle curiosité innocente,