Page:Jammes - Le Triomphe de la vie, 1911.djvu/68

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Qu’importe, ô Dieu, si au bord du chemin
l’estropié peut s’endormir sans crainte,
qu’importe que la Lucie et Martin
aient pu s’aimer dans le vaste jardin ?