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et que mon cœur n’est plus aussi lég-er…
Dans le calme où Jean de Noarrieu habite,
mon Dieu, laissez, puisque l’été arrive,
que le bonheur et la bonté s’abritent ;
que les nuits bleues où la Lucie gémit
en s’endormantaux bras de son ami
ne soient troublées que du bruit des souris.
Et que pour eux le bel été éclate.
Que l’aile bleue des midis écarlates
les mène encore sous de plus noirs ombrages,
au bord des eaux où sur l’épais feuillage
des bouillons-blancs, des calthas, des bardanes,
la libellule endort son vert métal.