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LE CERF
Il est vrai, ce vain ornement,
Dis-tu, ce bois dont je me pare,
Me nuit plutôt, quand la fanfare
Me force à fuir rapidement.
Tes cornes ont plus d’agrément
Que les miennes qui sont sans feuilles,
Car, encore que tu ne veuilles,
On y voit pousser fréquemment
Les beaux lauriers que tu recueilles.