Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
LE COQ
Je suis le dur à cuire,
Le hobereau, le sire
Que la fortune ingrate aux changeantes amours
Avec tous les cadets relègue aux basses-cours.
Ma toque cependant est celle d’une altesse,
Mes pieds éperonnés proclament ma hardiesse,
Et la victoire sonne au cuivre de ma voix.
Que viens-tu donc, jaloux de ma vieille noblesse,