Page:Jammes - Le Deuxième Livre des quatrains, 1923.djvu/40

Cette page a été validée par deux contributeurs.

XX

À MA FILLEULE SYLVETTE GUILLON-VERNE


Tu regagnas, avant que de t’être posée
Sur la terre, le Ciel, ainsi que la rosée
S’évapore des lys, et sans qu’elle ait mouillé
Ce qui, trop bas pour elle, aurait pu la souiller.