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pas à lui donner, pour rien, un kilogramme de cacao ! Mais, voilà, il n’y a pas d’issue ! c’est une situation sans issue. Et j’ai beau creuser, plus je creuse… C’est très-curieux, plus je creuse, plus j’ai sommeil ! N’importe ! creusons encore un instant ! Je finirai peut-être par m’endormir, et qui sait ? là, peut-Miro, est la solution. — Creusons !
ALVARÈS.
Voilà une nuit de noce !
GUARDONA.
Voilà une lune de miel !
ALVARÈS.
Quand je pense qu’à cette heure, ma petite femme… sans moi !
GUARDONA.
Ce n’était certes pas pour ça que je m’étais marié ! — Eh ! bien, beau-père ?
ALVARÈS.
Eh ! bien, beau-père ?
PÉRONILLA.
Eh ! bien, je creuse.
GUARDONA.
Vous dites ?
ALVARÈS.
Vous dites ?
PÉRONILLA.
Je dis : Je creuse ! Puisque je vous dis que je creuse ! Je n’ai donc pas l’air de creuser ?
ALVARÈS et GUARDONA.
Nous exigeons une solution !
PÉRONILLA.
Je la tiens.