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ROMANCE.
I
- On nous sépare, on nous accable,
- C’est bien !
- Mais moi, je ne me sens coupable
- De rien !
- Vous aurez fini de m’entendre
- Bientôt,
- Car je ne dis pour me défendre,
- Qu’un mot :
- Moi, je l’aime, c’est ma femme,
- C’est ma vie et mon bonheur,
- Jamais plus ardente flamme
- Ne fit battre un jeune cœur !
- C’est ma vie et moi bonheur !
II
- Elle a mis dans ma main fidèle
- Sa main !
- Vous voulez me séparer d’elle,
- En vain !
- L’amour seul nous impose en maître
- Sa loi.
- Désormais elle ne peut être
- Qu’à moi !
- Elle m’aime, c’est ma femme,
- C’est ma vie et mon bonheur,
- etc., etc.
BRID’OISON.
C’est… tou… tou… chant !
PREMIER JUGE.
J’y suis allé de ma petite larme !
DEUXIÈME JUGE.
Mes compliments, mon cher ! Vous chantez comme un ange !