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XI


Nos estomacs reconnaissants
Gardent la mémoire fidèle
De tes dévoûments incessants,
De tes bouillons et de ton zèle.


XII


Quelquefois, dans un rêve d’or,
Il me semble, ô ma douce fée,
Te voir près du poêle encor,
Chaste et pudiquement coiffée,


XIII


Sur l’eau qui devait nous servir
Attachant tes regards sévères
Et la suppliant de bouillir
Pendant des heures tout entières.