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L’EXILÉE.
Septembre 1870.
ourquoi pleures-tu, pauvre femme,
Assise au bord de ce chemin ?
Ton visage, où se lit ton âme,
Porte l’empreinte du chagrin ;
Tes beaux yeux ont perdu leur flamme,
Et des pleurs roulent sur ta main.
Est-ce l’amour qui t’a blessée ?
As-tu ressenti la douleur