Page:Jacques Gaffarel - Curiositez inoüyes, 1629.djvu/500

Cette page n’a pas encore été corrigée

bien miserables si nous n’avions point d’autres juges en ceste matiere que luy, & Viginere, qui veut paroistre sçavant en ces Mysteres, en faisant passer pour des bons raisonnemens, comme l’autre vient de faire, mille resveries plus impertinentes que celles d’un febricitant: je les eusse volontiers rapportees si celles que je viens d’exposer ne m’en eussent desgousté ; une seule chose diray-je pour advertir ceux qui liront leurs escrits, que partout où ils ont parlé des Esprits, & de l’Astrologie selon les Hebreux, d’une verité qu’ils ont advancee, ils ont conclu dix mille faussetez, ainsi que je feray voir plus au long dans nostre Cribrum.

Pour Carlo Fabri que je viens de nommer, je ne pense jamais a-