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auparavant que de descouvrir les secrets de ceste ancienne Astrologie, qu’à tort on a blasmé la pureté de ceste science, qui monstrant à dresser des nativitez sous le divers aspect des Astres, sçait predire par une façon que la nature enseigne le bon-heur ou le malheur des hommes.

1. Ceux doncques qui blasment l’innocence de l’Astrologie se servent ordinairement de ces deux raisons. Qu’elle est vaine & nullement veritable, & qu’elle est condamnee par les maximes de la Religion, qui ne demandent de nous autre devoir que ce refrein de cloistre, obeyssance & humilité. Que si nous consultons les Canons qui portent cét arrest en lettre rouge, nous trouverons, disent-ils, que