il se frotte la tête de sandal, se peint au front les signes de la divinité qu’il vénère le plus dans la Trinité
reprend son turban et ses vêtements ordinaires,
et donne à tous les assistants, suivant ses facultés,
quelque souvenir de l’événement qui
les a réunis depuis douze jours.
Le pourohita ou brahme officiant, qui ne l’a pas quitté pendant tout ce temps, prononce force memtrams et asperge d’eau lustrale tous les recoins de la maison, ainsi que les ustensiles, meubles et autres objets qu’elle contient. Elle est ainsi purifiée, ainsi que ceux qui l’habitent.
La même chose avait lieu chez les Romains, le dixième jour, appelé denicales feriæ. La plupart, du reste, de ces cérémonies, libations, oblations au feu, se retrouvent également chez les Indo-Latins, et c’est à ce titre autant que pour bien indiquer la puérilité des superstitions brahmaniques, que j’ai cru devoir passer en revue ces cérémonies funéraires, qui donnent lieu aux plus intéressantes comparaisons.