CHAPITRE VIII
a Négresse n’est ni Sodomite ni Lesbienne. — Après les explications qui précèdent sur le
peu de sensibilité génitale de la Négresse,
on ne trouvera pas étrange de remarquer
chez elle peu de ces cas de perversion érotique, qui sont
si fréquents chez les peuples Asiatiques. Déjà la Négresse
n’est pas Lesbienne, quoique son clitoris soit bien développé.
Elle n’est pas davantage Sodomite, et a au contraire
une profonde aversion pour ce goût dépravé. La
raison en est peut-être en ce que, pratiqué avec la verge
d’un Nègre, le coït anal serait un véritable supplice, une
sorte d’empalement. Je n’ai trouvé de traces de Sodomie
que chez les pierreuses Noires de Saint-Louis,
adonnées à la plus basse prostitution. Je citerai notamment
une de ces femmes, encore jeune, qui présentait un
développement notable des fesses avec un profond infundibulum,
un sphincter complètement relâché, avec un
orifice d’une dilatation considérable admettant sans douleur
trois doigts. Cette femme avouait que c’étaient des
Blancs (était-ce bien sûr ?) qui se livraient sur elle à la
Sodomie, et qu’avant de se laisser faire, elle exigeait