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ZÉMIÉNIX. Dieu samogitien, protecteur des moissons.

ZÉNOVIA ou TRIGLA. La Diane des Slaves.

ZÉOU. Voy. Soou.

ZÉPHYRE (ZÉPHYROS). Veut d’oecldeat, et l’un des quatre meaUoonél aomlnalement dans BOIIIére. PrlmiUvement, U l ! talt regard !  ! comme ua •eut roneote, du molas taat qu’Il aglllalt apontsnl ! ment : l’lllade ell’OdJUI ! e le Jolpeot toDJoara l Borl ! e, ••., _, lequel, diseRt c : eo pol ! mel, ce •eut almel faire bondir lH •• pea et Aamasser lël ontre~. Opeadant den ., -pa de fOd.JS~H, OUtre ceu1 OÙ l’OD l’Olt ZéphJI"’de’t’enlr bleafalsaot par one lmpullloo etran1ère, le dépeignent d’une maolère autolill • A œlle de la mythologie po~tl ! rleare, comme nolembaume. qal fait mûrir les fruits. Mala alonc « eat clanai » Π! IJsl ! e ou dansl11e ma· pque des I’Madens qu’Il soulie. Salnnt Hc.mere, Il eut de la Harpyle Podargi ! les ebevauz xanlhas et Balloa. —Héllode faU naltre Zt ! phyred’Aatrl ! e et de l’Aurore. Sulvut lH,.. Une, Uepoaoa Clllorll, la même qae Flore, el en l’Dl Carpos. Les O, pblqaes loi douneot pour enfanta lei brise& ( aurm) : ceel ludique d~A un adouelaaement dana la conception premlj ! fe du Zépbyre. La mythologie romaloe la transforma bleotOI eabèrement. Zépbyre ou Fav,.. nhJS fut ua géole ~lenlalsaat, suxallH de pspll· loo el couronné de nean. llgltaaalt l traver& les atra, en teoant A la malo une eorbelUe nmpUe dea plus boUes neara du prtntempa. ror. VEwn. —Les LatiDs reeoonataaalent plusieurs Upbyres. Ou leur uertllalt une bre : bls blaoehe avant de mettre • la’t’olle. ZÉ.PBYan&aEI. Surnom des B.U. (aUI’IB), Illies Ile ZépiiJI"’.— Anlooé, mère de Bérélllee, rrçut aprél 11 mort lco boueurs dl•tnsle nom de VéDDI Zo ! phyrltls. z&aB&IILA. Dieu de l’biver cbezles Slaves. On le reprl ! oeotsll couvert de neige, et a-rec une couronne de grêle. ZBBVAI’IB ·AilBBÙIIi. C’est l tort liDO les mythologues adwetteot dane le msldélllllfl un dieu de œ oom supérieUr l Ormuzd •.Cette eroyaoœ s’est propa1ée par une erreur de traducUoo l ! cbappl ! e A Anquelll, l ! criYint d’ailleurs SODI l’lnftaeoce réiCUYe d’une secle moderne puur laquelle le lemps est le dieu suprême. Le hmeax psllllJ ! e do Veadldad..de ( Il". 18) algllllle tout slmplemeat ; aal• vant M. Bnmuul, l fobllfl"’oce duquel DDDI dC’t’ORB ces reaaelgaemeota : • Ormuld a Créé dana le lempslner~e. •1ln ~~a vaut philologue allemand a dëlllOotré la même chose pour ao pa-ppehlvl da Boundehescb. z&avi’ITBt&. •· SUrnom d’lll ! eale, adone dans le Zér)’nlblon, célèbre caverne del 1111oauthtace, par olt l’on deaeeodalt ao : r. calera. Ou 1 saerlllalt deachleod la déelle. •· 8ar. oo10de Véous, A laqueUePbèdreavalteoJIIIo cré un temple ~ Zérynthle. zËTÈS et C&L&ls. Frères jumeaux, Ols de Borée et d’Orllhyle. Oo lee dnlgne qnelqoe ! ota par le oom de &oréades. Ils avatrot —des allel • ZÉT âf3 au <’paula ( PIDdare), ou au1 p1eaa 1Apnllo• alos), ouAla~ etaoxpieds(HyginJ, et prlreat part ll’expédltiDD dea Argooau~. """ a. Bn roule avec lean eompsgnoaa, Ils arrl •érent l SalmydeiiDI elle& Phlnée, qui avait époDié leur ~œ~~r Cléopltre, el trouvé. rent ceUe-cl daDI les fen, atnsl que — en· fanta. Ils détr6Qèreat le roi, qol a..tt prêté l’oreule am :. ealomolel d’une autre l ! poue, doanéreat l’empire au•.Ils de Cléopatre, et renvoyèrent la marltre en Seythle ( Diodore). -6. 1lae tndlUon tooU ! alt dlfll ! reaterapporte que Pblaè, obsède par les Ha, pyll"l, a’: tèlreoaa ~ax Boréades pendant leur aejoar daoa —Btall, et les pria de le d~Uner de ees IDODI-Irel. Or, one prèdletlon porlllt que les Har-JI )’Ies oe ponvaleot périr qae de la 1011D de Zétél et de C&lala. La meme prl ! dleUon •nit la mort aux Borèacles s’Ill ne lrloiii. Phaleot de leur& l ! tnapa adYerl !’lrel· Ils fit. l’t ! Dt vainqueurs. —Y or……… —Leur mort est diversement racooll ! e. Les une prétendeat qu’lia pi ! rlre&t ea co•baltsnt les Harpyles. Slll•aot d’autres, Hercule lei lal coups de lèches daDI l’Ile de TOus, ou ea Blthyale, IOit qu’lia l’euaseat ••lnea daDIIH J"’• en l’hooaear de Péllaa, IIOit q’utls caaaent empéeb6 lea Argnaaatea de le repJ’CDo dre, après aoo débarqucmeat ea M)’lle, · pour avoir ln~ulté Tlpbys. On attribuait eucore la ocüre da bérol l ce qae.Jason letJr avait donné de ptns rlcbra préleota qu"l 1111, ou *ce que Bene a’l ! lalt pla A contrarier le YDJap d’llereale A Cos. —Oo voyait leur tombeau l T6Dol : Ill étlleat Mlrmontél de elppea qui a’ebnalaleat aoas l’balelae de leur père..Ou pnteadalt aulll cependant qu’Ill furent ehangél eu’t’tula fnorables, l’rodro-, qui soaflaleat• du noroHat. On attrlboaltt Cala’lala foodaUon de C&lèa ea campsole. t : IJJDJJie le Nmarque avec nilOD M. Parisot. les Borl ! adea sont des peroon. ulle&UoDI da veut. Leur bitte ••ee les Barpylos ( TArel/al), l’obltaele qu’Ill apportent A la marche de l’Argo • leur q………., avec le pllote’nphJI)II’ODVent aanboarlam-at eette alll"rllon.

ZÉTHA. surnom de Vénus chez les Macédoniens.

ZÉTHUS (ZÉTHOS). Suivant Homère, roi de Thèbes et époux d’Aédon. Dans les traditions postérieures, sa légende a été singulièrement embellie. Fils de Jupiter métamorphosé en satyre, et dAntiope, il reçut son nom des bergers qui le recuellilrent sur le Cithéron, ainsi que son frère, Amphion, et se fit pasteur et chasseur, tandis que son frère, aimé d’Apollon, devenait un chantre célèbre. — Zéthus aida son frère à se venger de Dircé, et à ceindre de murs la vimlle de Thèbes, soit pour protéger Cadmus, soit pour se défendre contre ce monarque ou contre Laïus, chassé par eux. Apollonius rapporte que, comme Zéthus soulevait sur ses épaules un énorme quartier de rocher, Amphion en fit approcher un deux fois