mais ce n’est là qu’une étape dans l’histoire débutante du Continent noir.
Que la nation, qui veut la France grande, demande que l’on se prépare aux conflits de l’avenir.
Que l’armée coloniale soit formée, mise en état d’agir.
Que notre infériorité navale soit compensée par la construction de torpilleurs sous-marins Goubet, grâce auxquels les géants des flottes ennemies seront repoussés bien loin de nos côtes métropolitaines ou coloniales[1].
Que l’on aime la patrie, enfin, d’une tendresse assez grande, assez absolue pour mettre l’intérêt français au-dessus des mesquins appétits personnels.
Comme vous qui venez de prêcher d’exemple, je crois à l’avenir du plus brave et du plus loyal des peuples, et pour conclure, je réunis, prière fervente, ces deux mots que votre admirable épopée fait monter de tous les cœurs vers les lèvres de Gaule :
Le volume suivant aura pour titre :
- ↑ Une flotte de 200 torpilleurs Goubet annihilerait la puissance maritime anglaise et 200 Goubets conteraient 25 millions, juste le prix d’un seul cuirassé.