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DEUXIÈME PARTIE


CHAPITRE PREMIER

Mistress Robinson n° 2



— Non, ne remerciez pas, je suis totalement au plaisir d’avoir obligé des personnes aussi vraiment intéressantes.

Ainsi, mistress Robinson accueillit les expressions de la reconnaissance des trois voyageurs, à la disposition desquels elle avait mis quelques-unes des cabines louées par elle, à bord du Parthénon.

Mais quelle étrange mistress Robinson, et comme elle ressemblait peu à la gracieuse Lydia.

Cette mistress-là apparaissait grande, sèche, autant qu’on en pouvait juger sous son ample manteau de voyage. Un chapeau-capeline, renforcé d’un voile bleu, cachait la tête de la passagère.

Et comme si une pareille coiffure lui avait semblé insuffisante à masquer ses traits (elle devait être laide, assurément), des besicles de corne, à verres bleus, chevauchaient son nez et rendaient invisibles ses yeux.

Elle parlait cependant d’une voix aigrelette, acide, que ses interlocuteurs, s’ils avaient été portés à la méfiance, eussent jugée déguisée par un de ces pro-