Le toit de l’Edifice est tout en dalles porphyriques et rappele celui des grands monumens de la grèce. l’architecte a pris pour modèle de la corniche, celle des bains romains, dont plusieurs pièces ont été trouvées parmi les décombres.
On se demande à qu’elle époque remonte une construction aussi importante par sa masse et aussi distinguée par ses belles proportions, que celle dont on a trouvé d’aussi nombreux débris ? quand et par qu’elle cause a t’elle été détruite ? et l’on ne peut répondre à ces questions que par des conjectures.
Parmi les monumens qu’on trouve dans le village, les plus remarquables sont une colonne encore sur place et renfermée dans une maison ; deux tronçons de colonne, dont j’ai déjà parlé, l’un servant de socle à une croix près de la fontaine de la magdelaine, et les deux autres surmontés également d’une croix et placés à l’entrée de l’Eglise. On en voit aussi quelques uns qui sont épars dans la vallée et plus ou moins éloignés