II en fut de même, dans la X Expérience, de la réflexion produite par le plan commun des priâ- mes du parallélipipède. QuiT&iâMsE Proposition. PROBtàME L Séparer les uns des autres les rayons hétérogènes d'une lumière compofée. Ces rayons font en quelque forte féparés par le prifme dans la III Expérience & dans la V leur féparation devient parfaite aux cotés re&ilignes de l'image colorée, lorfqu'on fupprime la pénombre. Il eft vrai que, dans tout l'efpace compris entre ces côtés les cercles innombra- bles formés chacun par des rayons (C) homogènes, rentrant les uns dans les autres, rendent par leur mélange la lumière allez compofée. Mais R on diminue le diamètre de ces cercles en con- servant leurs diftances & leurs polirions ref- peaives, ils s'entremêleront beaucoup moins • ce qui diminuera d'autant le mélange des rayons hétérogènes. Pour le prouver, foient A G B H, C J, DK, Fig. ij. £L> F M, les cercles d'autant d'efpèces de rayons
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