Page:Isaac Newton - Optique, 1787.djvu/79

Cette page n’a pas encore été corrigée

lumière du foleil a le plus d'énergie je reçu,^ .comme dans la III. Expérience un faifceau de rayons fur un prifme,placé de façon que l'axe en fut parallèle à celui de la Terre. A l'endroit du mur où tomboit le fpeétre je fixai un livre ouvert Enfuite à 6 pieds2 pouces de diftance » j'élevai verticalement un obje&if de 6 pieds 1. pouces t de foyer, afin de projeter fur un papier blanc les rayons réfracl:és pour y peindre l'image des caractères illuminés de la ibrte. Puis ayant fixé l'objectif:, je marquai l'endroit pu étoit le papier, lorfque les caraclrères illuminés par le rouge le plus vif étoient peints avec le' plus de nçtteté. Après quoi j'attendis que, par le mouvement du fbleil, toutes les autres couleurs du fpèdre, de- puis ce rouge jufqu'au milieu du bleu tombai fent.toùr à tour fur ces caractères» Lorfqu'ils iurentiilluminéspar le bleu, je marquai Tendroic - où étoitlep^piet, quand leur image avoit le plus - :de netÉtté^ & je trouvai que.dans ce deniier cas If vpapier étoit de jôou j-j lignes pluspro- c^^l^objeélif que; dans le premier .cas les Staymii wolm du ^âTejlatrpuyQient donc d'au- tant plas tôt raffembléspar la Tefradion que les fj^yonstïéflgejis,^refte en |ttfantj cette expé-