orbiculaire Y, dilatés par le premier priſme viendroient à former l’image oblongue PT, feroit que les rayons de ſa partie PQK, qui occupe un eſpace égal en longueur & en largeur à l’image orbiculaire, étant dilatés par le ſecond priſme, viendroient auſſi à former l’image oblongue π q x p ; tandis que les rayons de la partie KQRL formeraient l’image oblongue k q r l & que les rayons des parties LRSM, MSVN, NVT, formeraient autant d’autres images oblongues lrfm, mſvn, nvtγ : ainſi, toutes ces images oblongues rangées latéralement compoſeraient l’image quarrée tt t. Mais au lieu d’être élargie par le ſecond priſme l’image PT devient ſeulement oblique comme p t l’extrémité ſupérieure ou violette P, étant tranſportée par la réfraction à une plus grande diſtance que l’extrémité inférieure ou rouge T. Donc à incidences égales, les rayons violets, étant plus réfactés que les rayons rouges & par le ſecond priſme & par le premier ſont néceſſairement plus réfrangibles.
Ayant mis un troiſième priſme après le ſecond, & un quatrième après le troiſième pour que l’image pût être pluſieurs fois réfractée latéra-
