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V I. Axiome. Les rayons homogènes qui, i de différents points d'un objet, tombent perpen- ) diculairement ou à peu près fur une furface plane i oufphérique s réfléchiffante ou réfringente 3 diver- gent enfuite d'autantd'autrespoints, ou deviennent parallèles à autant d'autres lignes j ou convergent ` à autant d'autres points"; & cela avec exactitude du moins fans erreur fenjîblc. La même chofe arrive lorfque les rayons font réfléchis ou réfractés fuc- cejjivement par deux3 trois quatrecinq furfa- ces > planes ou fphériques. Le point d'où les rayons divergent & où ils convergent peut être appelé leur. foyer. Or le foyer des rayons incidents étant donné, on peut trouver celui des rayons réfléchis eu réfradtés» en déterminant la réfraéfcion de deux rayons quelconques par la méthode précédente ou ` par la méthode fuivante qui eft plus commode. riS- 4' I. Cas. Soient A B C une furface plane refléchiflante ou réfringente Q le foyer de* ` rayons incidents & Q^C une perpendiculaire à ce plan. Si cette perpendiculaire eft prolongée jufqu'à q, de forte que q C foit égal à QCjr = le point q fera le foyer des rayons réfléchis. I OufiqCeftprisdumêmecotéduplan que