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pour prendre la teinte des rayons qui n'étoient pas interceptés. Ainfi ces rayons retenoient chacun leur propre couleur, avant sde tombée fur le papier qui les réfléchiflbit à l'œil. De forte que, fi chaque efpèce eût été feule ou de beaucoup prédominante elle feule auroit coloré le papier; mais.fe tfouvant mêlée avec les autres dans une proportion convenable «Ile faifoit paroitre blanc le papier la blan- cheur réfulte donc de leur mélange. Ces rayons confervoient auffi chacun leur propre couleur en tombant fur le papier V dans leur trajet du fpectre à l'œil, puifqu'ils faifbient voir les différentes parties de cette image fous leurs propres couleurs. Or c'eft en vertu de leur partait mélange qu'ils rendoient blanche la lumière réfléchie par ce papier. X. Expérience. Après avoir fait paflerFig. 3*1 l'image folaire PT à travers un objectif M N» de pouces d'ouverture de 6 pieds de foyer, 8t diflànt du prifme ABC d'environ 6 pieds; fi elle eft projetée fur un papier blanc vertical DE, placé avant le foyer de l'objectif,, comme en de elle paroitra. avec des. couleurs très-