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àîvifés par ces lignes ^trànfverfales dans la pro- portion des longueurs du monochorde qui dôn» lient les fept tons du mode mineur. Pour fe prouver GM étant mené en x, de forte que M*' foit égal à GM, imaginez que G x ax, /x, »x, ex,7X5 «i, Mx, font pro- portionnellement entre eux comme les nombres 'iïjïbii fi'-7»'»'t»<lui repréfentent une tierce mineure*une quarte une quinte, une fixte "majeure, une feptième & une ôftave* éëk:pofé, les intervalles Met, et y, yi, t»t ~ï\ i- a &G, feront les efpaces occupés par •les" diëerentes couleurs, le rouge, l'orangé, le .jaune, le vert, le bleu, l'indigo, & -le violer. Comme ces efpaces foutendent les diffe^ rences de réfractioiï des rayons qui vont juf- qu'aux limites de ces couleurs, c'eft à dire, jufqrôaûx points &, ?, e » »AGi ils peuvent être- regardés fans erreur fenfiblei comme proportionels aux différences des finus ^eréftàâion de ces rayons qiù' ont un Cnus d'in- cidence commun. Et puifque le commun finuç d'incidence des plus réfrangibles & des moins réftaiigibles à leur paflàge du verre dans