Page:Isaac Newton - Optique, 1787.djvu/136

Cette page n’a pas encore été corrigée

blotement continuel trouble la vifion incort* véniêiits que n'a pas cette méthode puifque l'oculaire fe meut aifément, & que l'objeâif, étant attaché à un mât droit & fort devient fixe. Voyant qu'il ne reftoit point d'efpoir de perfectionner les lunettes de longueurs données i j'imaginai, il y a quelque temps, un télef- cope dont. un miroir métallique concave, tra- vaillé fur une fphère d'environ 1,5 pouces de diamètre, forme l'obje&if. Ainfi, cet infini- ment a près de, 6 pouces & j ^ligngs de lon- gueur. L'oculaire eft plan-convexe, -le diamètre de ^hçticité du dernier c!pté étant d'un cin- quième de pouce j de forte qu'il grpfiîtjo à, 40 fois (21) l'objeétif fouffre; une ouverture de .16 lignes j elle in'eft, pourtant pas limitée par :i^- diaphragme qui^en recouvréles bords eUei'eft par le petit trpu rond percé au;milieu de Ja virole qui terminéjjé tuyau, & qui fait foncliori d'un diaphragme, placé entre l'oculaire ––" '~– y~–– fii) Je trouvai par une autre méthode qi^il gtofTif- foit environ j 5 fois.