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que j’ai passé des mois entiers, des nuits à pleurer cette merveille. Irremplaçable ! Mais c’était dans les débuts. Tout de suite après la catastrophe. Depuis j’ai réfléchi. J’ai fini par penser que la destruction du Kaleido était nécessaire. Comme toutes choses.

Il faut que je remonte, dans mes souvenirs à ce soir-là il y a 2 ans — quand M. Joze me quitta brusquement pour suivre une dame qui l’attendait dans son auto, devant chez nous.

Nous demeurions toujours rue Bélidor.

Malgré l’immense succès des « Voyages » et les revenus incalculables dont M. Joze disposait à ce moment-là, il n’avait pas voulu quitter la-vieille maison et le labo où il avait fait sa découverte. Il s’était contenté d’agrandir et de moderniser. Et il avait placé l’entrée principale Bd Gouvion St-Cyr (là maison étant d’angle). C’est là