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Pour parler de M. Joël Joze, je voudrais trouver des mots particuliers : pleins de ferveur ; pleins de respect ; pleins d’émotion reconnaissante. Des mots tout neufs. Très grands. Très simples. Dignes de lui. Pareils à lui.

Je lui dois tout.

Il m’a vraiment ouvert les yeux, ce grand « Oculiste de l’Occulte » comme il se nommait lui-même par plaisanterie. Il y a longtemps. Aux beaux jours du Kaléidoscope… Heureux temps ! Mais alors, enfant, j’aimais M. Joze. Je ne le connaissais pas. Je l’appelais, je l’appellerai toujours Patron. Parce que c’est son goût. Mais dans mon cœur (maintenant), dans mon esprit, je sais la valeur du mot, MAÎTRE.

Sans autres réflexions personnelles, je veux noter ici la suite inflexible de nos malheurs.

Je ne cherche pas à comprendre.