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pour commenter ces deux vers si connus d’Horace[1] :


Non, je n’ai point appris à jurer par un maître.

. . . . . . . . . . . . . . .

Souvent Homère dort :… Et son lecteur peut-être.


Au milieu de toutes ces disputes, soutenues départ & d’autre avec tant de chaleur, à travers ce fatras d’injures & de libèles, parmi ces révolutions continuelles de la république des lettres, le lecteur pourra suivre le fil de nos connoissances, les progrès du goût, la marche de l’esprit humain. Ce projet, mieux exécuté, offriroit un excellent cours de littérature : Ce seroit alors le cas d’appliquer le mot

  1. Nullius addictus jurare in verba magistri.

    . . . . . . . . . . . . . . .

    Quandoque bonus dormitat Homerus.