Page:Inscriptions de l'Orkhon déchiffrées.djvu/126

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q^y’nyn ôl"rt’m, il’n *nda-"Hym. ot-jylqa tûrg*s t*pa *Hun-jysyy

  • ^sa^ [âr]t’s--ug"z’g k*6à jory[dym, lurgâs budunxy uda] b^sd^m. tûrg*s

IIE28 q^y^n susi otèa bur^ôa kMti, (ii,i4) bolëuda sun"sd'm>z, q^y^nyn j»byu[sy]n è*dyn *nda-ôl"rl’m, iPn «nda^-^tym. ol"z j»àyma b»s-

b^lyq t»pa sûl^d’m. *Hy-joty siin^sd’m [ sû]sin qop ô[Iû]r-

t’m. [anda*] ièr^ki-nà’ kisi-tin[i ? ]y joq-[b(rfda]6y

^r[ti ]a oqyyty k^lti. b’sb^lyq *ny-ûè^n ozdy. ot"z-

IIE29 «rtuqy (ii, is) bir j^gyma q^riuq bud"n buns^z [ârjûr b*rur ^rkli j^yy-’ boldy. t*m*y-yduq b*§da sun"sd>m. q^rluq bud^n^y ôl"rt>m,

anda--^tym. [. . , T ja§y]ma* q[. . .] |j)ud J.]* qMuq bud"n

tir[ ]m Ô[lûrtim]. t[oquz oyu]z m%*n

IIE30 bud"nym>-^Mi. t^nri j»r buly*qyn uô"n, ôdin[â] (11,12) kôni t*gdûk u6"n j^yy-boWy. bir-jylqa tort joly sun"sd’m. *ûilki toyu b*tyqda

sûn’"'sd’m. toyta ûg"z’g jiizHi k^é’p sûsi[ ]

ikind[i] uryuda[1] sûn"sd’m, sûsin s^nédym [. . .

  1. andapguda ( ? IO., H.) R.

sic ; = toya I E 37. des traces nettes de sic ; -ni 10., R. ou basjmulf (R.) peut-être bûdànif


delà, et je tuai leur kagan et asservis leur peuple. Durant la même année, je marchai contre les Turghès en passant las montagnes boisées d’Altoun et le fleuve Irtych. Je fondis [en vainqueur sur le peuple des Turghès]. L’armée du kagan des Turghès arriva comme

IIE28 le feu et la tempête, et nous luttâmes à Boltchou(?); j’y tuai leur kagan, leur yabgou et leur chad, et j’asservis leur peuple. Dans ma trentième année, je fis une expédition contre Bichbalik. Je luttai six fois [....] je tuai beaucoup de leurs troupes. En se disant : € Quelles gens est-ce qui sont là-dedans ?», [....] aurai(en)t été per-

IIE29du(s) [...] vinrent (les) appeler ( ?). Grâce à eux, Bichbalik échappa 91. Dans ma trente et unième année, le peuple des Karlouk devint un vaillant ennemi, vivant en liberté sans inquiétudes. Je luttai près de la sainte source( ?) du Tamag. Je tuai le peuple des Karlouk et je l’asservis là^*). Dans ma [. .] année( ?) [. . .] le peuple entier( ?) des Kar-

IIE30 louk [se réunit . . . je les] tuai^^). Les Neuf-Ogouz étaient mon propre peuple. Comme il y avait bouleversement au ciel et sur la terre et que la jalousie leur avait remué la bile, ils devinrent nos ennemis. En un an je luttai quatre fois’-^*). D’abord je luttai près de la ville de Togou. Après avoir passé à la nage la rivière Togla (Tola)^’^), leur armée [ ]. La seconde fois, je luttai près