Page:Icy - Brassée de faits, 1926.djvu/313

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
305
LETTRE V

C’était bien la première croupe féminine qu’il m’était donné d’examiner dans cet état d’absolue nudité. L’autre jeune fille, qui, avec elle, retenait sur le sol la déculottée, éprouvait la même joie et toutes deux semblaient m’inviter à la partager. Elles regardaient tour à tour le beau derrière si bien présenté sans voile, puis moi-même qui leur paraissais si vivement intéressée. Elles devaient lire dans mes yeux le plaisir, que je prenais à la contemplation de ce qu’elles me montraient, de ce qu’elles offraient si généreusement à ma vue charmée. Leur expression de visage que je n’ai pas oubliée indiquait qu’elles jouissaient de l’émoi que je manifestais par mes regards, à la fois étonnés et ravis.

La croupe étalée devant moi était de toute beauté et j’en ai conservé le souvenir ineffaçable. La peau très blanche, les formes parfaites des deux belles fesses étroitement serrées sont à jamais fixées dans ma mémoire visuelle et je voudrais savoir dessiner pour en reproduire l’aspect attrayant, supérieur, à tout ce qui s’était jusque-là présenté à ma vue.

Elle aussi, la jeune fille fouettée se tournait vers moi, c’était une brune aux yeux passionnés que je n’oublie pas non plus.

Celle qui avait rabattu la culotte fit en sorte de dévoiler plus complètement les fesses admirables, tirant la chemise en haut, puis elle prit, à pleine mains, des deux à la fois, la belle chair et l’expression qui l’animait alors témoignant d’un plaisir souverain. Sous l’étreinte double des mains amies, les fesses se remuaient tout exprès, me semblait-il, pour que je visse quel bonheur on goûtait