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UN DOCUMENT

Et cela sous des prétextes empreints de sérieux, de gravité, même. Il ne s’est nullement agi ici d’un jeu polisson.

Nous connaissons, nous, des exemples non moins probants, non moins authentiques qui, extrêmement remarquables, à notre avis, pourraient constituer de dignes pendants à celui que nous avons cueilli dans la collection du journal « Le Matin ».

C’est d’abord le cas, présenté à plusieurs exemplaires, de jolies dactylos recevant de bonne volonté la fessée que leur inflige l’employé supérieur mâle qui les dirige.

C’est ensuite l’exemple d’ateliers où le contremaître masculin s’investit du soin de stimuler l’ardeur au travail des petites arpètes en claquant opportunément leur gentil derrière frétillant.

Nous pourrions donner, pour chacun de ces exemples, les plus grandes précisions.

Nous ne le ferons pas, pour la raison que nous renonçons à convaincre les incrédules.

Il est en effet, des sceptiques qui ne veulent pas accorder une confiance entière à quelques-uns de nos récits. Nous leur demanderons simplement la permission de respecter leur robuste absence de foi et nous continuerons, quant à nous, de remercier la réalité qui dépasse de beaucoup en saveur piquante tout ce que nous pourrions inventer.

Il est une autre raison encore et celle-ci s’impose, décisive, c’est qu’en apportant des précisions de lieu,