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BRASSÉE DE FAITS

ou de les claquer. Même les femmes, ses fesses les tentaient, plus larges que les miennes.

Chez moi, elles étaient plus en relief. Sans doute parce que je cambrais de mon naturel.

Vous avez dit que vous les aimiez mieux, les miennes. Vous n’êtes pas le seul et je ne veux pas vous démentir. Il y en a qui préfèrent les siennes. Ainsi, tenez, chez la Sever, cela arrivait.

C’est une affaire de goût. Les uns en tiennent pour le derrière large ; les autres pour le derrière étroit, saillant. Il n’y a guère à discuter des préférences. Quand il s’agit de derrières surtout, c’est une affaire personnelle, les préférences.

Mais, pour la fermeté, par exemple, on est pareilles, dites ? Quand on serre les fesses, elle ou moi, ça ne ferait penser à personne à de la colle de pâte ! Je crois que ma petite Flore et moi, nous casserions autant de noisettes, en une heure, rien qu’à nous asseoir dessus !

Le premier jour qu’on travaillait là, l’un des associés, Alcide, le plus petit des deux, nous avait dit déjà qu’on aurait la fessée si ça n’allait pas.

Et l’autre, Désiré, avait appuyé, disant que c’était l’habitude de la maison. Une bonne fessée, tous les jours, fallait ça aux coupeuses et toutes s’en trouvaient bien.

Nous deux, on croyait à une blague comme une autre. On n’y avait même pas fait attention. C’est une chose qu’on entend si souvent, quand on a de belles fesses !

C’est épatant, ce qu’on leur en promet, de fessées aux