Doucement ! que personne ne s’aperçoive que l’harmonie ne règne pas parmi les chefs.
Vous avez gagné la confiance de Peder Kanzler par une ruse diabolique que je n’arrive pas à saisir. Vous m’avez forcée à me meure en rébellion, non pour aider notre cause, mais pour votre propre utilité. Je ne saurais plus reculer, ne croyez pas cependant que la victoire vous appartienne, je saurai vous rendre inoffensif.
Madame !
Soyez tranquille. Monsieur le Conseiller d’Etat, vous ne risquez pas votre vie ; mais vous ne sortirez pas des portes d’Ostraat avant que la victoire nous appartienne.
Mille tonnerres !
Toute résistance est inutile, vous ne vous en irez pas, demeurez donc calme, c’est ce que vous pouvez faire de plus sage.
Ah ! je suis tombe dans un piège, elle a été plus habile que moi.