m TBtAflUB stockiu ! « n. C’est ma faute ; j’aurais dû m< « révolter contre eux il y a longtemps j’aurai dû montrer les dents, et irordrel. n ose m’appeler un ennemi « le la société I Moi Le diable m’-anporte si je ne me venge pas 1 madami stockjukr.– Maie, mon cher Tonus, ton frère a 1 « pouvoir. stockmani*. – Oui, mais moi j’ai raison. masaju 8T0CKMA » ». Raison, raison A quoi cela serfc it que tu aies raison, si tu n’as pas le pouvoir. pstra. – Oh 1 maman, comment peux-tu parler de cette façon ? f stockmann. – Ainsi, dans une société libre, cela ne me servirait à rien d’avoir raison Que tu es drôle, Katrine. Comment 1 N’ai-je pas la presse libérale et indépendante pour moi, et ia majorité* compacte derrière moi Il me semble que c’est un pouvoir cela I madame srocKMANr ». Mais mon Dieu, Tomas, tu ne Bouges pourtant pas ï STOCKMARit. A quoi ? MADAME 8T0CKMAMC. -– A te révolter contre ton frère. 8TOCKMANH. Que diable veux-tu que je fasse, si je ue soutiens pas ce qui est juste et vrai î pBTRA. En effet madame stockmank. – Mais cel/i ne servira à rien ; si les at’tres ne veulent pas, tu ne’peux rien, toi 1 8T0CKMASN. Oh ohi Katrine, attends unpeuettn verras ; je saurai bien mener ma campagne à bonne fin 1 mabamb stocmaîh ». -Oui, tu réussiras peut-être à avoir ton congé, voilà tout ce que tu obtiendras. sTocKMABii. J’aurai du moins accompli mon devoir
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