Page:Ibsen - Empereur et Galiléen, trad. Casanove, 1902.djvu/299

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2W WlâATÏUI l « couronne d’épines et mt œetuit, la couronne dt ’Vit (1). Voilà pourquoi jeté itmcrctt ; car aucun homme ne m’a fait autant de bien que toi. Et afin que tu n’ailles pas croire que je te crains après ceU, regarde. {// écarte ton mamteem, déchiré « M plai*i et j « Uê lts tombeaux de ehair aux pied* de l’empereur.) Tiens, tiens ; repais-toi de mon sang dont tu es altéré Pour moi, tu sauras que ft me repais de Jésus-Christ. {On entend « » « ri (Wpow « » « e 4mm k f «  « I « , > PLtrsimoi » Yorx. – Cela aoos. portera maUMur i tous ! "• juukn, qui a reculé. – Retenez cet insensé, qu’il ne ous touche pas f (Des soldats entourent Cyrille et Fenttttaent ver* 3tfonuine au même iastant, « a chant de femmes se tait « étendre dehors à droite.) juLiKNi – Regarde de ce câté, Fromentïnos,. ».queHe •st cette étrange procession ? P vhomektihob. – Très gracieux empereur, ce sotie m » chanteuses de psaumes. julien. – Quoi ? Cette hjmde de folles furieuses. fkomknxinos. – Le gouverneur Alexandros leur a enlevé des livres qu’elles considèrent comme sacrés. A présent, elles quittent la ville pour aller pleurer sur les tombeaux des chrétiens. juuen, les poings serrés. – Défi défi. des femmes « omme des hommes ! (Publiai et uae. troupe nombreuse de femmes passttt sur la route.) i Les historiens ecclésiastiques nomment comme ayant subice supplice ua certain Théo dor*. Sosomta*, ffkt »

  • cclét., V,