D'IBN RHALDOUN.
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��soudie. des questions de droit, III, 2.
CoMi'AS (Le), ou rose des vents, I, iM.
Complément (Le) du verbe. Quand on le
. répète, on supprime le verbe, I, /lAg. note.
Composition (La) des nombres, III, i32.
Composition (La) littéraire. Quand on com- pose en vers ou en prose , on doit s'oc- cuper moins des pensées que (les pa- roles, III, 383 et suiv.
Comptes (Livre des). Ibn Khaldoun en a vu un qui renfermait les comptes du palais d'El-Maraoun, II, 347.
Concepts, I, 201, note; III, i5o, i5i.
Concision de la langue arabe et parole de Mohammed à ce sujet, III, 3og.
Conditions (Les) de l'heure, II, 65.
Confession de l'unité, terme équivoque employé par des soufis, III, 87, note, 96 , note.
Conjonctions (Les) des astres, II, 217 et suiv. — Il y en a trois classes, 217, 218. — Ce qu'elles annoncent, selon les astrologues, 218,219.
Connaissance (La). C'est, pour l'homme, l'acquisition de la forme de l'objet con- naissable, II, 435. — On acquiert les connaissances en étudiant et en ensei- gnant, III, 293.
Connaissance (La) spirituelle, III, 46,
Connaissance (La) du premier degré, III,
47 ; et du second degré, ihid. CoNNNAissANCE (Gens de la), III, io4. Connaissance (Station de la), III, 46. Connaissances [aSc). Il y en a deux
classes, I, Introd. xxv, note. — Leur
nature, II, 434, 435. — Les connais- . sances acquises par les prophèles, 436
et suiv. — Celles des hommes et celles
des anges, 433 et suiv. Connaissances (Les) scientifiques. Elles se
��multiplient sous l'influence de la civi- lisation et de la vie sédentaire , II , 448 , et suiv. — Comment on les acquiert, III, 281 et suiv. 293. — Leur progrès chez les mu&ulmans, III, 3o4.
Connaissants (Le chef des), III, io5.
Consentement général (s-Ujk.1), III, 7.
Considération, ou influence; c'est une source de richesse, II, 336 et suiv.
Consonnes. Manière employée par l'au- teur pour représenter les consonnes étrangères à la langue arabe, I, 68 el suiv.
CONSTANTINE, I, 127.
Constantinople, I, i53, 161. — Prédic- tion relative à la prise de celte ville. Il ,
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C0NST.ANTINOPLE (Le canal de),I, 94,1 38.
Contacte (îHlçal), Signification de et terme, I, 197.
Contemplation (La) mystique, III, 100, note.
Continue (Quantité), III, 122.
Controverse (La), III, 2 5 et suiv.
Coran (Le). Il est le plus grand des mi- racles de Mohammed, I, 194. — Le lexte de ce livre lui fut communiqué par la voie de l'audition, 194 , i 95. — L'orthographe du Coran, II, 454 el suiv. Voyez Interprétation. — La doc- trine hétérodoxe de la création du Co- ran fut soutenue par le khalife abba- cide el-Mamoun, III, 11, note. — Doctrine de la création du Coran, 5;. — Ce que le mot coran signifie , selon les Acharilcs, 73. — L'étude du Coran ne sert pas à former le style, 288. — Elégance inimitable du style du Coran , 327. — On ne peut pas dire que le texte de ce livre soit en prose rimée. 36o. — Impression produite sur le.'* Arabes par le slyle du Coran, 4oi.
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