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LISTE

��DES TERMES EXPLIQUÉS

��PAR L'AUTEUR OU PAR LE TRADUCTEUR.

��(jLI. Ce mot, signifiant «le temps où une cliose doit arriver ou se faire , » prend , au pluriel, la forme v^jbljf. Voyez le texte arabe de la II' partie, p. 16, 1. 3.

jji,f. Ce mot s'emploie en algèbre pour dé- signer « l'exposant » d'une puissance; en astrologie il désigne le nombre de de- grés qui se trouvent entre « l'ascendant » et la fm du dernier signe du i^odiaque. Voy. Irad. I, 2A8, note.

Aj[. Quand ce mot est employé avec le sens de «11 est cependant vrai que.n ou « Il se peut que , » on doit le faire suivre de la parlirule ^1. Voyez VAbd- AUalifde M. de Sacy, p. 12. Notre au- teur n'a pas toujours observé cette règle. Voy. trad. 1,17, note, et libtx, note.

|.l.oî. Le terme joLc^fl tjy%^ est expliqué dans la trad. I" partie , 4o3 , note.

,f-*éi- (^[^^\ « les cinq mères. » On dé- signait par cette appellation certains ouvrages renfermant les éléments de la grammaire arabe. On trouvera les titres de ces traités dans la trad. I , xxi , note 6, de l'Introduction.

��(jl . Adverbe négatif; exemples de sorî em- ploi : trad. I, XXXVIII, note; III, 319, noie.

lu^] iquoddité,» voy. trad. III, 107, note. Ce mol, dérivé de la particule

yt «que,» a sans doute été employé

par un traducteur de ÏOrganon d'Aris- Jtote pour rendre le terme Ôti. Jf. Ce que les mystiques entendent par

ce mot; trad. II, igS. <_)lj. Ce mot s'emploie comme synonyme

de yi, «maison, lieu de séjour,» II,

1 5 1 , note. <)^(>J f dix mille,» I, 35a. xJivyl. La science ainsi nommée a pour

objet les figures de rhétorique et les

ornements du discours, III, 3a5. Joo, au pluriel JIjol et ^^o-i. Note sur

les personnages désignés par ces termes ,

II, 168; voy. aussi II , 179, 190, et III,

io4, 106. IiJo. Espèce de guitare, II, Ai 2 .i^L). Espèce de sauce, I, 3/4, note. (jj:»,l*j « creveurs. » Les sorciers qui font

crever le bétail, III, 181.

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