Page:Ibn Battuta - Voyages - Traduction Sanguinetti - Volume 4.djvu/487

Cette page n’a pas encore été corrigée
Ses secours aux habitants de l’Andalousie, etc. 349. — Remarques d’Ibn Djozay, 350. — Quelques autres de ses belles actions, 352. — Ibn Batoutah se rend à Tanger, puis à Ceuta, où il séjourne pendant plusieurs mois, 353. — Départ pour l’Espagne, ibid.

Voyage en Andalousie. 
 354
Gibraltar, p. 354. — Remarques d’Ibn Djozay, 355. — Renseignements importants, 356. — Vers, 361. — Rondali, 363. — Marbelab ou Marbella, 364. — Le district de Sohaïl, ibid. — Malaga, 365. — Ses fruits, 366. — Vers, ibid. — Autres détails sur la ville de Malaga, 367. — Bellech ou Vêlez, Alhama et Grenade, 368. — Vers, 369. — Du sultan de Grenade, 370. — Savants, ibid. — Remarque d’Ibn Djozay, 371. — Vers, 372. — Religieux, ibid. — Retour à Alhama, Vêlez et Malaga, 373. — Le château de Dhacouân, ibid. — Rondali et le bourg des Bénoù Riyâh, 374. — Retour à Gibraltar, ibid.

Ibn Batoutah se rend de nouveau en Afrique, puis entreprend un voyage dans le Soudan ou pays des nègres. 
 374
Ceuta, Arzille, Salé et Maroc, p. 374. — Détails sur cette dernière ville, ibid. — Vers, 375. — Départ pour Fez ; arrivée à Salé, Méquinez et Fez, 376. — Départ pour le Soudan ; arrivée à Segelmessa, ibid. — Voyage en caravane ; le bourg de Tagbâza, 377. — Mine de sel gemme, ibid. — Les nègres emploient le sel comme monnaie, 378. — Désert, 379. — Curieux détails, ibid. — Tâçarahlâ et ses eaux, 381. — Du takchîf ou messager, ibid. — Anecdote, 383. — Autre désert, 384. — La ville d’Iouâlâten, 385. — Détails curieux, 386. — Des Messoûfites qui demeurent à Iouàlàten, 387. — Anecdote, 389. — Autre anecdote analogue à la précédente, 390. — Voyage d’Iouâlâten jusqu’à Mâlli, 391. — Arbres séculaires, et remarque d’Ibn Djozay à ce sujet, ibid. — Détails intéressants, 393. — Le village de Zâgliari, 394. — Le fleuve Niger et son cours, 395. — La ville de Cârsakhoû, 396. — La rivière Sansarah, 397. — Arrivée à Mâlli, ibid. — Curieux détails, 398. — Du sultan de Mâlli, 399. — Du vil cadeau d’hospitalité de ces gens, et du grand cas qu’ils en faisaient,