refusai. Je racontai ces choses à’Amîd almolc, fils d’Imâd eddîn assiranâny, qui en informa son père ; cela vint aussi à la connaissance du vizir, qui était un ennemi personnel de Khodhâouend Zâdeh. Or il en parla au sultan, el il lui fit connaître beaucoup d’actes répréhensihles de Khodhâouend Zâdeh ; de sorte que le souverain changea de sentiments à l’égard de ce dernier, et ordonna de le mettre aux arrêts dans la ville. Il ajouta : « Pour quelle raison un tel lui a-t-il versé cette somme ? Ainsi, qu’on suspende tout payement, jusqu’à ce que l’on sache si Khodhâouend Zâdeh donne quelque chose lorsque j’ai défendu de le faire, ou refuse de payer ce que j’ai donné. » Tel fut le motif du retard que subit l’acquittement de ma dette.
Lorsque l’empereur se rendit à la chasse, je partis avec lui sans aucun délai. J’avais déjà préparé tout ce qui était nécessaire, me conformant aux habitudes du peuple de