À ce moment, le kâdhi, ou celui qui le remplace, en prend quelques feuilles et les donne au proche parent du défunt, qui les mange ; alors les assistants se retirent. Nous décrirons plus tard le bétel, s’il plaît à Dieu.
J’ai entendu dans la mosquée principale des Benou Omayyah (que Dieu la conserve longtemps avec ses prières !), tout le Sahîh de fimàm Abou Abd Allah Mohammed, fils d’Ismael aldjo’fy albokhâry (que Dieu soit content de lui !), expliqué par le cheikh vénérable (très-âgé), vers lequel on voyage des divers points de l’horizon, et qui sert de lien entre deux générations (de savants), Chihâb eddîn Ahmed, fils d’Abou Thâlib, fils d’Abou’nna’m, fils de Haçan, fils d’Aly, fils de Baïân eddîn Mocri (professeur de lecture coranique) assâlihy, connu sous le nom d’Ibn Achchehnah alhidjâzy. Cela en quatorze séances, dont la première eut lieu le mardi 15 du mois de ramadhan, le magnifique, de